Roberto Alagna

Roberto Alagna

VASCO DE GAMA - Meyerbeer - Berlin

Oeuvre

 

VASCO DE GAMA (L’Africaine)

Grand Opéra en 5 actes

Opéra de Giacomo Meyerbeer

Livret d’Eugène Scribe

Création (comme l’Africaine) le 28 avril 1865

À l’Opéra de Paris

Version revisitée comme Vasco de Gama le 2 février 2013 à Chemnitz

Suivant la publication de Jürgen Schläder

Première à l’Opéra de Berlin le 4 octobre 2015

 

 

Distribution - Calendrier

 Deutsche Oper Berlin

 04 octobre 2015

 07 octobre 2015

 11 octobre 2015

 15 octobre 2015

 18 octobre 2015

 24 octobre 2015

 

 

Mise en scène : Vera Nemirova

Assistante : Sonja Nemirova

Décors : Jens Kilian

Costumes : Marie-Thérèse Jossen

Chorégraphe : Bharti Ramdhoni

Vidéo : Marcus Richardt

Chef des choeurs : William Spaulding Dramaturge : Jörg Königsdorf

 

 

Don Pedro : Seth Carico

Don Diego : Andrew Harris

Ines Nino : Machaidze

Vasco da Gama : Roberto Alagna

Don Alvar : Clemens Bieber

Inquisitor : Dong-Hwan Lee 

Nelusco : Markus Brück

Selica : Sophie Koch

The High-priest : Albert Pesendorfer

Anna : Irene Roberts

Matelots : Paul Kaufmann 

Gideon Poppe 

Thomas Lehman 

Michael Adams

 

Chœur et Orchestre Deutsche Oper Berlin

Direction Musicale : Enrique Mazzola

 

Revue de Presse

 

Classical Voice North America - Rebecca Schmid 

"Ténor robuste, timbre ardent et sex-appeal"

 "Vasco toutes voiles dehors à Berlin -Dans le rôle de Vasco, Roberto Alagna a choisi de chanter malgré un rhume, son ténor robuste à peine affecté alors qu'il emplissait le théâtre de son timbre ardent."

 

The Guardian - Martin Kettle

"Roberto Alagna dans le rôle-titre fait de son mieux pour apporter de la vocalité ténor et du sex appeal à la tâche. [...] Alagna souffrait d'un rhume, pour lequel il a présenté ses excuses avant le lever du rideau. Sa carrière prend quelques tours intéressants et admirables dernièrement, dont il s'agit d'un autre bon exemple pour la deuxième fois cette année (l'autre occasion a été la première à Paris du Roi Arthus de Chausson en mai). Le ténor se met au service d'un opéra français négligé qui mérite qu'on lui donne une bonne opportunité d'être défendu. Tout le crédit lui revient pour cela. De même qu'au Deutsche Oper pour avoir donné ses chances à l'ouvrage. "

 

Bachtrack - Mark Pullinger

« Paradis retrouvé : Vasco da Gama hisse les voiles dans le style, au Deutsche Oper. Alagna, annoncé souffrant d'un rhume, a fait entendre une voix énorme, déployant son timbre de ténor bien au-delà que nécessaire à l'occasion. Il fut à son meilleur dans son interprétation délectable en duo avec la Sélika magnifiquement chantée de Sophie Koch, dans leur lit de fleurs à l'acte IV ». 

 

Klassik.com - Kevin Klarke

« Avec Roberto Alagna, c’est un Vasco purement idiomatique du chant français qui apparaissait en scène, déclamant très clairement et énergiquement le texte. Et: avec cœur et charisme, en dépit de l'indisposition annoncée due à une infection grippale. » 

 

Kultura-Extra - André Sokolowski

« Le ténor star Roberto Alagna (Vasco) a été annoncé comme souffrant d’un rhume, mais il a défendu vaillamment le rôle […] Gigantesques acclamations pour une gigantesque production »

 

Berliner Morgenpost - Georg Kasch

« Roberto Alagna, annoncé enrhumé, possède pour ce rôle de Vasco des ressources medium merveilleusement rayonnantes »

 

Oper-Aktuell - Kaspar Sannemann

« La soirée a commencé avec une annonce: la star de la soirée, le ténor Roberto Alagna souffrait des effets d’une infection grippale, mais se déclarait néanmoins prêt à chanter le rôle exigeant malgré tout. Au cours des trois premiers actes, il a tenu le rôle très vaillamment, et s’est montré impressionnant par une tessiture centrale bien ajustée, soutenue, et une constitution vocale puissante. Son malaise ne fut réellement perceptible que dans le quatrième acte, dans le délicat air « Ô doux climat » ». 

 

 

« Roberto Alagna s’est fait excuser, avant le lever du rideau, à cause d'un refroidissement - cinq heures plus tard, nous étions fixés : […] Alagna sait gérer excellemment ses forces. Il tousse de temps en temps pour s’éclaircir la gorge, mais on retrouve cependant tout le fondant et le brillant habituel de sa voix, qui lorsque nécessaire, rayonne avec aisance et sans forcer – presque jusqu’à la fin, quand précisément dans le célèbre aria « Pays merveilleux » sa puissance décline un peu. »

 

 

Opernnetz.de - Zena Ida du Aubris 

« Les chanteurs de cette production répondent bien aux exigences élevées de l’oeuvre, en particulier les quatre principaux protagonistes: Roberto Alagna - bien qu’annoncé malade – domine le rôle-titre du héros déchiré entre ambition et amour » (Zena Ida du aubris | Opernnetz.de)

 

Münchener Merkur

« Le ténor star Roberto Alagna dans le rôle-titre s’est fait excusé pour son indisposition, mais finalement il a déployé une artillerie vocale si énorme, qu’on aurait cru à un Vasco composé par Leoncavallo »

 

Neuer Zürcher Zeitung - Julia Spinola 

« Le ténor star Roberto Alagna a impressionné dans le rôle-titre - en dépit de son indisposition - avec un timbre envoutant, et quoique peu nuancé, brillant et haut en couleur : tel un Che Guevara charismatique.» 

 

www.omm.de - Thomas Molke

"Roberto Alagna est le rôle-titre à tous les égards. S'il fallait le faire apparaître comme un mélange de Che Guevara relève certainement d'une question de goût. Mais son chant ténor ne laisse aucun désir inassouvi. Ainsi, il a convaincu avec des aigus brillants et beaucoup de force et d'impact dans les passages intermédiaires." 

 

Opernglas - M. Lehnert 

"Dans le rôle-titre Roberto Alagna a pu ajouter une autre partition d’importance à son vaste répertoire. Il s’est montré convaincant avec des aigus puissants ainsi qu’une endurance pugnace et – bien évidemment – crédible en tant qu’aventurier vif et intrépide dans son costume de Che-Guevara tantôt avec tantôt sans chemise d’uniforme. Il semble que ce soit en grande partie par mesure de précaution qu’un message l’annonçant indisposé a été communiqué au début de la première représentation. La prestation du ténor l’a plutôt montré en bonne forme. Beaucoup d’enthousiasme à la fin, un petit peu moins après le célèbre aria « O Paradis » du 4eme acte, après lequel la Cabalette subséquente n’en est apparue que plus assurée et impressionnante encore."
 
 

Galerie

 

 


11/11/2016