Roberto Alagna

Roberto Alagna

TURANDOT - VIENNE

L'Oeuvre

 

 

opéra en trois actes et cinq tableaux de Giacomo Puccini.

Livret de Giuseppe Adami et Renato Simoni d'après Carlo Gozzi  

Créé le 25 avril 1926 à la Scala de Milan sous la direction de Toscanini. 

La dernière scène de cette œuvre inachevée de Puccini, mort en 1924, a été complétée par Franco Alfano.

Une nouvelle version de cette scène par Luciano Berio a été créée le 25 mai 2002 à l'Opéra de Los Angeles sous la direction de Kent Nagano

 

 

Calendrier

 

Wienerstaatsoper
10 avril 2018

13 avril 2018

17 avril 2018
20 avril 2018

Distribution

 

Turandot : Lise Lindström
Liù : Aleksandra Kurzak
Calaf : Roberto Alagna
 
Mise en scène et lumières : Marco Arturo Marelli 
 
Direction Musique : Frédéric Chaslin 
 
Orchestre et Choeurs  Wienerstaatsoper 
 
 
 
 

Revue de Presse

 

Merker online - Elena Habermann - 11/04/18

 

"Un Calaf très réussi, excellemment chanté. La voix d’Alagna est dans une forme optimale, évoluant de la manière la plus positive qui soit" par Elena Habermann pour Merker online

 
EXTRAIT (traduit de l'allemand) : "Le passage d’un répertoire à l’autre réussit remarquablement à Roberto Alagna. Actuellement, il est dans une forme vocale optimale. Après son spectaculaire Otello, le voici en un Calaf très convaincant. Le temps ne s’est pas arrêté depuis ses débuts dans la Maison en 1992 dans le rôle de Nemorino, mais 26 années représentent toute une tranche de vie et ont fait évoluer sa voix : le chanteur a mûri et sa voix s'est développée de la manière la plus positive qui soit. L'artiste a débuté la transition doucement, pas toujours sans rencontrer d’obstacles, et on a pu entendre que ce chanteur-là avait fait ses preuves. Stylistiquement, ce Calaf fut excellemment chanté. La voix a acquis une belle couleur légèrement barytonale, à la "Dolcezza" pouvant encore être peaufinée. Il exécute des piani magnifiques et le "Nessun dorma" fut accueilli par un tonnerre d’acclamation dans le public, alors que son "Non piangere Liù" fut presque encore plus beau. Un début très réussi !"
 
 
 

Die Presse - Walter Weidringer -  10/04/18

 

« Alagna dans une forme impressionnante, fait fondre la Turandot de glace de son timbre séduisant. Contre-ut vaillant et sûr. » 

 
EXTRAIT (de l’allemand) : « Favori du public, Roberto Alagna s'est présenté dans une forme vocale impressionnante pour son premier Calaf viennois. Souhaitant d’abord s’appuyer- presqu’un peu trop – sur l’attractivité quasi nue de son timbre, il ne tarde pas à raffiner sa prestation, gagnant en finesse dans la dynamique et le phrasé. Il couronne la scène des énigmes d'un contre-ut vaillant et sûr, presque sans broncher ; Dans "Nessun dorma", il attaque un peu bas, mais se rétablit parfaitement et sans faille. Mais surtout, il parvient à exprimer toute la passion qu'exige de lui le bon vouloir de Marelli dans cette double incarnation du compositeur lui-même (Puccini) et du prétendant, qui veulent tous deux à leur manière conquérir Turandot. »
 
 
 

Die Kronenzeitung - Thomas Gabler - 13/04/18

 

« Grand enthousiasme pour Alagna : aigus impressionnants, clarté du timbre, caractérisation parfaite » 

 
EXTRAIT (de l’allemand) : « La plus impressionnante réussite revient à Roberto Alagna qui interprétait le rôle de Calaf pour la première fois dans la maison et a étonné ses fans viennois : ses poignants appels à la princesse «ceinte de glace» furent captivants, ses aigus et la clarté de son timbre de ténor dans le célèbre Nessun dorma saisissants, le tout dans une caractérisation parfaite du personnage. »
 
 
 

Galerie 

 



26/01/2018