Roberto Alagna

Roberto Alagna

LE ROI ARTHUS - Chausson - Paris

Oeuvre

Drame Lyrique en 3 actes et six tableaux d'Ernest Chausson

Livret d'Ernest Chausson 

Première représentation au Théâtre Royal de la Monnaie le 30 novembre 1903

Première représentation à l'Opéra de Paris le 16 mai 2015

 

 

Distribution - Calendrier

 

 

Opéra National de Paris

16 mai 2015

19 mai 2015

22 mai 2015

25 mai 2015

28 mai 2015

02 juin 2015

05 juin 2015

 

Mise en scène : Graham Vick

Décors et costumes : Paul Brown

Lumières : Adam Silverman

 

 

Le Roi Arthus : Thomas Hampson

Genièvre : Sophie Koch

Lancelot : Roberto Alagna

Merlin : Peter Sidhom

Lyonnel : Stanislas de Barbeyrac

Mordred : Alexandre Duhamel

Allan : François Lis

 

Choeurs et orchestre de l'Opéra National de Paris

Chef des choeurs : José Luis Basso

 

Direction musicale : Philippe Jordan

 

Revue de Presse

Le blog du Wanderer – 05/06/2015

« L’autre ténor, exceptionnel, c’est sans conteste Roberto Alagna, dont on ne cesse dans ce type de rôles de dérouler les qualités – il était tout autant magnifique dans Le Cid dernièrement: fraîcheur, jeunesse, lyrisme, diction d’une incroyable clarté, tension, vérité du jeu, capable aussi bien d’être héroïque que lyrique, et tout aussi bouleversant dans l’introspection. La voix est homogène, pleine et solaire. C’est un bonheur total ce soir, il est Lancelot, et sans doute la référence dans ce rôle désormais, difficilement surpassable. »

Die  Deutsche Bühne – Andreas Berger  – 05/06/2015 - Traduit de l’allemand

« En Lancelot, Roberto Alagna se révèle impressionnant dans le répertoire de ténor dramatique. Son timbre chaud et la souplesse de sa ligne vocale en ferait aussi un bon Parsifal.»

 

Opera e Operamagazin.com – Natalia Di Bartolo – 13/06/2015 – Traduit  de l’Italien

« Le plus brillant de tous est le Lancelot de Roberto Alagna, qui s’approprie parfaitement, ce rôle redoutable. Ce Lancelot-là n’est pas seulement difficile à rendre scéniquement, mais surtout vocalement à chaque note : il réclame un jeu précis, allié à une extrême souplesse de la voix. Pour les cordes vocales, les chausse-trappes y sont légion et le rôle représente une bonne prise de risque. Les duos avec Genièvre se chantent sur le « fil du rasoir ». Dès lors, avec son Lancelot juvénile, fringant et héroïque, Alagna prouve, si besoin en est, quel magnifique interprète il est, au phrasé parfait, à la diction impeccable. Sur le plan vocal, il s’avère un remarquable funambule, capable d’affronter n’importe quel obstacle […] La grandeur de son interprétation est admirable, pleine de fougue et de sentiments humains. […] Poursuivant son exploration de territoires musicaux inédits et sans précédent, il débute dans cette œuvre et la fait sienne. Dorénavant, n’importe qui aura le courage de chanter cette œuvre devra compter avec l’interprétation de Roberto Alagna, avec les qualités inoxydables de sa voix, et avec son extraordinaire interprétation : sa performance parisienne de Lancelot, unique, entre désormais dans l’histoire. Une entrée au répertoire de l’ONP qui fut applaudie chaleureusement et longuement par un public très satisfait de la performance des chanteurs.

 

The Guardian – Martin Kettle – 02/06/2015 – Traduit de l’anglais

« Des solistes vraiment excellents … On trouve une texture et une clarté tout à fait spécifiques dans l’écriture à la fois vocale et orchestrale de l’œuvre, particulièrement remarquable et plaisante. Alagna, en particulier, donne une prestation extrêmement impressionnante, marquant un nouvel élan dans sa carrière qui mérite d’être salué. »

TTT Magazine.fr – Johannes Colin – 27/05/2015

« Soutenus par une orchestration luxuriante, les chanteurs peuvent déployer l’infinie expressivité de lignes vocales des plus exigeantes. La production bénéficie d’un casting vocal éblouissant où chacun, faisant preuve d’une belle palette de sentiments, joue sa partition en virtuose. Roberto Alagna, dans le rôle de Lancelot, nous donne à entendre un chevalier écartelé entre amour et devoir. Sa voix puissante s’affirme avec un art consommé de la diction »

 

ELLE – Thomas Jean – 27/05/2015

« L’opéra de la semaine : Grandes voix royales | On prend à Bastille la claque lyrique du printemps. […] Un trio à se pâmer : les seconds rôles, jamais seconds couteaux, mériteraient à eux seuls une ola. Mais les vivats les plus fervents reviennent à Sophie Koch, enivrante Genièvre, à Roberto Alagna, dément en Lancelot, et à Thomas Hampson, baryton du rôle-titre aux graves caressants. Chausson oui, mais sur du velours ! »

 

Opera Online – Alain Duault – 29/05/2015

« Superbe émotion que celle procurée par Roberto Alagna : on n’a plus à répéter cette évidence, qu’il transporte de personnage en personnage, d’une prononciation exemplaire de clarté, d’une science des phrasés, d’une beauté de timbre inentamée – mais la profondeur de son émotion est là palpable comme jamais, ce déchirement produit par une situation qui le dépasse, cette impossibilité de choisir entre son amour et sa loyauté, tout est superlatif. »

 

WebTheatre.fr – Caroline Alexander – 27/05/2015

« Ce que l’on entend est pure merveille ! […] Le chevalier Lancelot est réincarné par le prince Roberto Alagna qui malgré son costume de vacancier impose sa présence rayonnante, sa diction taillée au cristal, sa voix ensoleillée. Il engrange tous les atouts d’un ténor qui sans doute entrera dans la légende. […] Une distribution exemplaire. Les ovations du public les remercient en enthousiasme. »

 

Bertrandferrier.fr – 26/05/2015

« À l’évidence heureux d’être sur scène, [Roberto Alagna] chante avec cœur une partition qui ne le ménage guère. Son troisième acte est vocalement pyrotechnique, mais c’est l’ensemble de sa prestation qui séduit. Présence, diction, virtuosité – et professionnalisme jusque dans l’après-spectacle. »

 

Toute La Culture – Marie Charlotte Mallard – 26/05/2015

« La musique et le chant brillent de leur perfection. Roberto Alagna happe le spectateur par son Lancelot lumineux, sensible, et profondément humain. Poignant il ne supporte pas la trahison tant envers Arthus qu’envers lui-même et ses propres idéaux et émeut particulièrement dans sa lutte intérieure entre amour et droiture »

 

Place  de l’Opera – Lennaert van Anken – 26/05/2015 – Traduit  du néerlandais

« Roberto Alagna est un brillant Lancelot. Le répertoire français lui va comme un gant. Je l’avais déjà entendu peu avant dans Le Cid, mais à mes yeux il est encore meilleur dans cet opéra. Sa mélodieuse voix de ténor est fantastique de justesse, en particulier dans le long duo avec Sophie Koch »

 

La Croix – Emmanuelle Giuliani – 26/05/2015

« Musicalement de haute classe, par la vaillance de Sophie Koch, la douloureuse tendresse de Roberto Alagna, le charisme de Thomas Hampson et l’éclat des seconds rôles »

 

La revue du spectacle – Christine Ducq – 22/05/2015

« L'excellence des chanteurs a déchaîné l'enthousiasme du public. Le Lancelot de Roberto Alagna avec son timbre éclatant et solaire, sa diction impeccable et son engagement héroïque, séduit vraiment. Si on peut regretter d'abord l'absence d'introspection dans les ténèbres du personnage, son pouvoir de fascination culmine dans le très bel acte III avec la confession de sa faiblesse au roi (celle des amours coupables avec la reine Genièvre éternelle Eve marquée par le péché) et la profession de foi réitérée à leur idéal. »

Die Neue Zürcher Zeitung – Christian Wildhagen – 22/05/2015 – Traduit  de l’Allemand 

« Un retour triomphant. Surtout, Jordan a su accompagner ces chanteurs de haut niveau. Il leur donne de l’espace, et il ne couvre pas les voix avec l'écriture orchestrale dense. Avec Thomas Hampson en Arthus, Sophie Koch en Genièvre et le ténor Roberto Alagna dans le rôle de Lancelot les trois rôles principaux sont luxueusement distribués et, qui plus est, parfaitement dans le style. Tous les trois sont plus proches du style français que du chant Wagnérien. »

 

Dilettantecoloratura.blogspot –  23/05/2015

« Un cast de référence : j'ai eu hier le sentiment d'assister à l'apothéose de deux monuments du chant, Alagna et Hampson. De Roberto Alagna on ne redira jamais assez la lumineuse diction, l'éclat inchangé du timbre, l'allure juvénile, la générosité dans l'interprétation. Après 30 ans de carrière, c'est tout simplement prodigieux. Son Lancelot n'est que lumière et on ne peut qu'aimer ce traître par amour. Que ce merveilleux artiste mette sa notoriété et son talent au service d’œuvres peu jouées est tout à son honneur. »

 

Resmusica – Jean-Claude Hulot – 21/05/2015

« Musicalement, le résultat dépasse nos espérances. La distribution frôle la perfection. Le Lancelot d’Alagna, timbre solaire, français impeccablement intelligible nous bouleverse par son combat entre l’amour et la loyauté »

 

Les Echos – Philippe Venturini – 21/05/2015

Roberto Alagna prête sa diction française une fois de plus exemplaire et sa sensibilité à un Lancelot partagé entre l'amour pour Genièvre et la fidélité à son souverain »

 

Operaclick  – Daniele Galleni – 21/05/2015 – Traduit de l’Italien

« Bien qu’Arthus soit le rôle-titre, c’est Lancelot qui est presque toujours sur scène; On peut voir dans ce rôle une tentative pour Roberto Alagna de se rapprocher de son premier rôle annoncé dans Wagner avec Lohengrin. Alors qu’il vient juste de délivrer une série triomphale de représentations du Cid de Massenet à l'Opéra Garnier, Alagna démontre sa prédilection pour le répertoire français : le timbre est toujours d'une grande beauté, et le medium toujours exceptionnel. Il évite de foncer et épaissir sa voix artificiellement, ce qui est toujours louable, et si quelques notes aigües n’ont pas été parfaitement réussies cela relève de la prise de rôle qui n’est pas encore tout à fait rodée »

 

Artistikrezo.com – Hélène Kuttner – 19/05/2015

« Roberto Alagna incarne un Lancelot juvénile dans son pantalon blanc et sa veste en jean. Il déploie toute l’ampleur de son talent vocal, avec une musicalité et des nuances de très grand artiste

 

Culturebox – 19/05/2015

« Des voix très sûres, très belles. Alagna évite très justement le Bel Canto au profit d’un chant merveilleux de clarté, jamais forcé, exactement l’esprit de Chausson. Son Lancelot est la franchise même : il aime. Il souffre d’aimer. Il souffre de trahir. Il assume ce dilemme terrible en mourant. »

 

Diapason – François Laurent – 19/05/2015

«Roberto Alagna incarne à la perfection un Lancelot jeune et fougueux, dont le verbe ardent s'assombrit sous le poids des remords »

 

Le Monde – Marie Aude Roux – 19/05/2015

«Ovationné aux saluts, le trio principal a tenu ses promesses. A commencer par Roberto Alagna, Lancelot tout de juvénile ardeur et de grâce chevaleresque. Style, diction, musicalité sont comme toujours chez le ténor français de haute facture. »

 

L’œil et l’oreille –  André Tubeuf – 18/05/2015 

« S’agissant de trois rôles si chargés émotionnellement, si volontiers tendus et exigeants en tessiture, il est à peine concevable que Thomas Hampson en Roi Arthus, Roberto Alagna en Lancelot et Sophie Koch en Genièvre aient réussi un même soir de telles incarnations, laissant d’ailleurs transparaître l’effort requis, mais avec la même insolente réussite. […]On ne peut que s’incliner aussi devant le sérieux de préparation et d’investissement, et la beauté fraîche (et plus d’une fois cinglante) de timbre que Roberto Alagna apporte à Lancelot, personnage si complet, si tourmenté, si pur dans la félonie, si ardent. Après son merveilleux essai en Ulysse de Pénélope, destiné à rester peut-être bien unique, Alagna se montre à plein ce qu’il est toujours, et bien seul : le plus musicien des ténors français, et le plus français des mondiaux. »

 

Le Figaro – Christian Merlin – 19/05/2015

 « Une distribution de toute première force. L’Opéra Bastille n’a rien laissé au hasard en parvenant à réunir trois stars. Pour le meilleur en ce qui concerne Roberto Alagna, dans un très bon soir : son Lancelot chevaleresque à souhait rayonne de sa voix claire et de sa diction française insurpassable. »

 

The Financial Times – Francis Carlin – 18/05/2015 – Traduit de l’anglais

 « Le Lancelot de Roberto Alagna, puissant, à la prononciation impeccable, est sans doute l’une de ses meilleures performances de ces dernières années. »

 

Concert classic.com –  Alain Cochard – 18/05/2015

« Quel plateau ! […] Superbe prestation de Roberto Alagna qui, dans la foulée du Cid à Garnier, campe un Lancelot d’un naturel et d’une ardeur pour le moins irrésistibles, tout en sachant creuser une dimension plus secrète de son personnage. Trio de tête luxueux. »

 

Nouvelobs – 18/05/2015

« Pour servir Arthus et Lancelot, Thomas Hampson et Roberto Alagna font merveille. »

 

Musicologie.org – 18/05/2015

« Roberto Alagna, à la diction toujours aussi parfaite et naturelle, d'abord un peu taxé par l'écriture très tendue de son rôle au premier acte, grandit au fil de l'œuvre, la voix ne cessant de s'épanouir jusqu'à une scène finale de toute beauté. »

 

Formalhaut.over-blog.org – 17/05/2015

"Roberto Alagna, chantant avec une aisance déconcertante, nous renvoya avec quelle évidence il tenait un rôle immense, à croire qu’il fut écrit pour lui. […] Ce Roi Arthus est défendu par une distribution exceptionnelle qui se surpasse dès ce premier soir. Roberto Alagna est d’une profondeur impressionnante, son chant, une référence à vie pour sa clarté de diction et ses belles couleurs fauves, et le personnage de Lancelot l’enrichit car il lui permet à la fois de jouer avec cœur les grands élans chevaleresques hors du temps qu’il affectionne, mais également de gagner en théâtralité dans la façon de décharger des accumulations de tension très crédibles […]. Il donne tout avec une intense générosité à laquelle se rallie Sophie Koch dans un état de surtension elle aussi incroyable. […] Avec l’Orchestre et le Chœur de l’Opéra National de Paris monumentaux en un tel soir, tous ces artistes se surpassent pour une œuvre qui valait un tel investissement musical et interprétatif."

 

Le Temps – 17/05/2015

« Vocalement, le trio principal (Hampson, Alagna, Koch) flamboie. Lancelot va comme un gant à Roberto Alagna, que l’impeccable prononciation et l’héroïsme vocal placent haut. »

 

Nordnet – 17/05/2015

« Ce "Roi Arthus" bénéficie d'une distribution luxueuse, avec Sophie Koch, Thomas Hampson et Roberto Alagna »

 

Paperblog – 17/05/2015

« Roberto Alagna s’illustre en Lancelot vintage, et mériterait un quatrième A ! »

 

Forum Opera – 17/05/2015

 « Chaque note semble couler d’évidence dans cette voix qui ce soir n’est que clarté et séductions » 

 

 

 

Galerie

 

 



08/11/2016