Roberto Alagna

Roberto Alagna

LA TOSCA - Puccini - Vienne

Oeuvre

La Tosca

Opéra en 3 actes de Giacomo Puccini

Livret de Luigi Illica et Giusseppe Giacosa

d'après la pièce de Victorien Sardou 

Créé au Teatro Costanzi de Rome le 14 janvier 1900

 

 

Calendrier

 

Wiener Staatsoper de Vienne

02 décembre 2015

05 décembre 2015

08 décembre 2015

Distribution

 

Martina Serafin/Maria José Siri : Floria Tosca

Mario Cavaradossi : Roberto Alagna

Michael Volle : Baron Scarpia

 

 

Revue de Presse

 

OperaeOpera - Natalia Di Bartolo : « Une interprétation unique, toute l’émotion d’un grand moment de musique »

« La splendeur claire et ciselée de la voix du ténor s’est alliée à la douceur et au moelleux de celle de la soprano [Maria José Siri], qui s’est montrée totalement à la hauteur de la situation. La qualité des duos, au cours desquels les vocalités opposées des deux interprètes se fondent en un clair-obscur, fut très appréciée du public, malgré le peu de temps que les artistes eurent pour s’accorder. Ils démontrent leur grand professionnalisme […] Le « Vittoria » d'Alagna fut éclatant, son « Recondita Armonia » du premier acte, splendide. [...] Aux premières notes de « E lucevan le stelle… », le public a retenu son souffle jusqu’à la fin devant l’extraordinaire ressource naturelle et technique de Roberto Alagna. L'interprétation de cet air par le ténor s’est révélée unique de pureté, de cohérence stylistique, d’élégance, tant sur le plan vocal qu’émotionnel, tout comme l'intensité dramatique transmise. Le public lui a réservé des applaudissements très chaleureux. Pleine à craquer la salle peinait à contenir toute l’émotion d’un moment de grande musique. »
 

Kultur Mobil.news.at -  Susanne Zobl : "Triomphe : le Cavaradossi idéal"

"Le Kammersänger fraîchement nommé est le ténor idéal pour interpréter le peintre Cavaradossi. Il y amène tout ce dont un ténor a besoin pour ce rôle. La puissance vocale, son "Vittoria" impressionnant, comme il se doit, un merveilleux timbre, bouleversant dans l'aria "E lucevan le stelle" et son «I dolci mani". Et Alagna est également un ténor à regarder, très esthétique dans son jeu et son apparence, il dispose d'énormes qualités d'acteur. Comme lorsqu'il se retrouve au troisième acte le corps criblé de balles devant le peloton d'exécution : la façon dont il pivote, convulse et s'écroule à terre, est digne d'un style Hollywoodien."
 
 

Galerie

 



11/11/2016