Roberto Alagna

Roberto Alagna

FEDORA - GIORDANO - GENEVE

 

OEUVRE

 

Opéra en trois actes composé par Umberto Giordano en 1898 sur un livret d'Arturo Colautti d'après l'oeuvre de Victorien Sardou.

Création à Milan le 17 novembre 1898

dans le rôle de Fedora la chanteuse Gemma Bellincioni. 

Tandis que le ténor Enrico Caruso, crée le rôle de Loris Ipanov.

C'est l'une des oeuvres les plus connues d'Umberto Giordano après Andrea Chenier  et Siberia.

 

 

CALENDRIER

 

Grand Théâtre de Geneve

 

12 décembre 2024 20:00:00

15 décembre 2024 15:00:00

17 décembre 2024 19:00:00

19 décembre 2024 19:30:00

22 décembre 2024 15:00:00

 

 

 

Distribution

 

Aleksandra Kurzak - Fedora

Roberto Alagna - Loris Ipanov

Yulia Zasimova - Contessa Olga Sukarev

Simone Del Savio - De Siriex

Mark Kurmanbayev - Grech

Vladimir Kazakov - Cirillo

Sebastià Peris - Lorek

 

 

Direction Musicale - Antonio Fogliani

Mise en scène - Arnaud Bernard

 

Orchestre et choeurs Grand Théâtre de Genève 

 

 

Revue de Presse

 

✪ CHRONIQUES 🇫🇷 FEDORA Grand Théâtre de Genève 12/12/2024 | ❝ Interprétation ardente et émotionnellement intense, voix puissante et nuancée captivant le public à chaque instant, présence scénique inégalée, remarquable capacité à transmettre à la fois force et vulnérabilité ... Vaillance, générosité légendaire, timbre solaire, irrésistible dans la fougue comme dans la douceur … Projection vocale prodigieuse … Une alchimie magnétique du couple star ❞ 
LIRE ➕ (EXTRAITS): 
🔺« Le couple star : Alagna et Kurzak - L’alchimie entre Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak, tant sur scène que dans la vraie vie, est magnétique. […] Roberto Alagna, véritable légende vivante, a une nouvelle fois prouvé pourquoi il est tant adoré. Son interprétation de Loris Ipanoff est ardente et émotionnellement intense, sa voix puissante et nuancée captivant le public à chaque instant. Sa présence scénique est inégalée, et sa capacité à transmettre à la fois force et vulnérabilité est remarquable. […] Cette production, avec son casting d’exception et sa mise en scène innovante, marque un retour triomphal pour cette œuvre rare. Si vous avez l'occasion de la voir, ne la manquez pas ! » Opera Diary (🇬🇧)
🔺« A soixante ans passés, le ténorissimo reprend un rôle étrenné il y a seulement deux saisons à Milan. On y retrouve sa vaillance, sa générosité légendaire, son timbre solaire, irrésistible dans les instants de fougue comme dans ceux qui requièrent davantage de douceur. » Diapason (🇫🇷)
🔺« Les facultés du tenor en matière de projection vocale demeurent prodigieuses. » La Tribune de Genève (🇫🇷)

 

 

✪ CHRONIQUE🇨🇭FEDORA Grand Théâtre de Genève 12/12/2024 | ❝ Alagna-Kurzak, un duo qui incarne à merveille le couple de rêve de l’opéra à Genève … Alagna laisser éclater son charisme de ténor, inaltéré depuis près de 40 ans, et son fort pouvoir de séduction … Il déploie une brillance héroïque, méditerranéenne et nuancée qui n'a rien perdu de son éclat, même dans les aigus ❞ par Peter Krause pour concerti.ch
LIRE ➕ (traduit de l’allemand 🇩🇪) : « Pour cette première au Grand Théâtre de Genève, Roberto Alagna interprète l’air emblématique de l’opéra (chanté à la création par Enrico Caruso) et partage avec bonheur la scène avec Aleksandra Kurzak, son épouse dans la vie, formant à Genève un duo qui incarne à merveille le couple de rêve de l’opéra. […] [A l’acte II] Alagna peut enfin laisser éclater son charisme de ténor, inaltéré depuis près de 40 ans, même si cela ne se manifeste pour commencer que dans les 100 secondes de son « Amor ti vieta ». Son pouvoir de séduction est encore plus fort dans le récit suivant et dans le grand duo avec Fedora – le véritable sommet de l'œuvre, où Giordano prouve qu'il n'est pas un petit Puccini, mais qu'il compose au moins sur un pied d'égalité avec ses contemporains. Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna se mettent à genoux, se roulent sur le sol. Voilà du grand opéra, de l’opéra de chanteurs, qui déploie son effet sans détour et qui ne nécessite pas en permanence de déployer une analyse psychologique fine. […] L'ensemble des chanteurs, magnifiquement dirigé jusque dans les rôles secondaires, fait honneur au chef d'orchestre. Alagna [déploie] une brillance héroïque, méditerranéenne et nuancée qui n'a rien perdu de son éclat, même dans les aigus. »

 

DIVERS REVIEWS🇨🇭 FEDORA Grand Théâtre de Genève | « L'alchimie entre Kurzak et Alagna n'est plus à démontrer. Leur duo est d'une intensité folle ... La voix de Roberto Alagna n'a rien perdu de sa franchise, de sa force de frappe, de sa clarté ... Elle reste celle d'un ténor royal et rayonnant. Intensité, phrasé impeccable, fantastique générosité dans le chant ... Maîtrise de la technique vocale, engagement total ... Il semble se consumer sur scène comme si c'était la dernière fois qu'il se produisait ... toujours désarmant de vérité dans son expressivité parce qu'elle est profondément ressentie ... Un cadeau d'un artiste incomparable »
LIRE ➕ (EXTRAITS) : 
🔺 » La voix reste celle d'un ténor royal et rayonnant. Intensité, phrasé impeccable, et surtout cette fantastique générosité dans le chant que le monde entier lui reconnaît. On sort de ce mélodrame une fois de plus reconnaissant du cadeau que nous fait cet artiste incomparable. « Concert Classic (traduit de 🇫🇷) 

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 

🔺 »L'alchimie entre la soprano Aleksandra Kurzak et le ténor Roberto Alagna n'a plus besoin d'être démontrée.Leur duo à la fin du deuxième acte [...] est d'une intensité folle. La voix du ténor, qui fête cette année ses 60 ans, n'a rien perdu de sa franchise, de sa force de frappe et de sa clarté, désormais teintée de nuances minérales. La maîtrise de la technique vocale et l'engagement total de l'artiste [sont rassurants].Il semble se consumer sur scène comme si c'était la dernière fois qu'il se produisait, ne reculant devant aucun excès expressif, toujours désarmant de vérité parce que profondément ressenti.« Forum Opera (traduit de 🇫🇷)

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 

 

DIVERS REVIEWS🇨🇭 FEDORA Grand Théâtre de Genève | « Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak font briller le lyrisme de la partition ... L'alchimie du couple est un véritable atout ... Roberto Alagna se distingue toujours par sa générosité rayonnante .... Une présence émouvante indéniable ... Sa voix reste splendide ... Il chante sans se ménager, dans un italien parfaitement intelligible ... Puissance impressionnante de la projection vocale, voix chaude, brillante [. ...] Un jeu d'acteur sans faille ... La complexité et la richesse du Comte sont déployées avec une simplicité désarmante qui convainc sans hésitation.  »
LIRE ➕ (EXTRAITS) : 
🔺 » Roberto Alagna est exactement comme il est : sa voix reste splendide malgré l'âge et une volonté inébranlable qui l'a conduit à chanter sans se ménager. Ainsi, son timbre radieux se pare de nuances ambrées, et la ligne vocale est toujours généreusement soutenue. De plus, il est le seul à offrir un italien parfaitement intelligible, ce qui est essentiel pour la crédibilité du drame « L'Avant-Scène Opéra (traduit de 🇫🇷)

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 

🔺 « Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak font briller le lyrisme de la partition. [...] L'un des moments forts de la représentation réside dans les premiers pas de Roberto Alagna sur la scène genevoise. A 61 ans, le ténor franco-italien s'impose toujours avec la générosité rayonnante qui a fait sa réputation. L'effet du temps sur la légèreté des aigus est largement compensé tout au long de la soirée par la présence indéniable dans le rôle d'Ipanoff, façonné avant tout par l'émotion. » ClassicAgenda (traduit de 🇫🇷)
🔺 » Pour porter cette partition exigeante, il était indispensable de réunir sur scène un couple à la hauteur des protagonistes, et c'est vers le couple vedette formé par Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna que le Grand Théâtre s'est tourné, pour le plus grand bonheur du public. [Roberto Alagna reprend un rôle dans lequel il a déjà brillé à Milan en 2022. La puissance de sa projection ne manquera pas d'impressionner les oreilles les plus averties. Sa voix chaude monte en puissance, réchauffe la salle et brille de mille feux. [...] Le jeu des acteurs est irréprochable et l'alchimie entre le couple est un véritable atout pour la production. Le héros est à la fois viril et fragile, puissant et fêlé, tourmenté et léger dans son nouvel amour... La complexité et la richesse du Comte sont mises en valeur avec une simplicité désarmante qui convainc sans hésitation « OperaOnline (traduit de 🇫🇷)

 

DIVERS REVIEWS🇨🇭 FEDORA Grand Théâtre de Genève | « En excellente forme vocale, Roberto Alagna incarne un Loris passionné et rayonnant, avec une voix puissante, immédiatement reconnaissable, qui reste merveilleusement stable et absolument sûre dans les aigus ... Il maîtrise “Amor ti vieta” avec aisance et sans effort ... Il excelle dans la complainte maîtrisée et dans le retour exalté d'Ipanov ... L'engagement des deux artistes crée un effet stupéfiant. Complainte magistrale, il excelle dans l'exaltation du retour d'Ipanov ... L'engagement des deux artistes crée un effet saisissant ... Des duos émouvants d'une rare vérité, marquant la conclusion d'une interprétation presque parfaite à tous points de vue ... On ne pouvait demander une meilleure distribution sur scène ... Avec de tels deux grands interprètes, Fedora appartient au panthéon des œuvres majeures »
LIRE ➕ (EXTRAITS) : 
🔺 » Roberto Alagna affiche une excellente forme vocale et incarne un Loris passionné et rayonnant, à la voix puissante. Les voix des deux interprètes se marient idéalement pour offrir des duos émouvants. « ConcertoNet (traduit de 🇫🇷) 
🔺 « On ne peut pas demander une meilleure distribution sur scène - [...] Même après tant d'années, la voix de Roberto Alagna semble toujours merveilleusement stable et absolument sûre dans les aigus. On a l'impression qu'il maîtrise « Amor ti vieta » avec aisance et sans effort. « ArcimboldosWorld (traduit de 🇩🇪)

 

🔺 » [...] la voix d'Alagna émerge, immédiatement reconnaissable. [...] Elle se resserre au fur et à mesure que sa propre colère grandit, et l'excitation devient de plus en plus palpable. Le duo violent avec Fedora atteint alors des sommets, culminant dans une complainte magistrale du ténor avec « Vedi, iopiango ». [...] À l'acte III, [...] avec l'exaltation du retour d'Ipanov, dans lequel Alagna excelle, la scène finale du drame s'avère sublime, car l'engagement des deux artistes, chacun jouant dans un registre différent, crée un effet saisissant, et l'émotion monte au fur et à mesure que le dialogue s'intensifie et que la vérité émerge. Alternant les moments d'excitation et de relâchement de la tension [...], la représentation s'achève sur un duo d'une rare vérité, marquant la conclusion d'une représentation presque parfaite à tous points de vue. Alors que Fedora est un opéra rarement joué, il a été démontré qu'avec deux grands interprètes, il appartient au panthéon des œuvres majeures « CultNews 

 

 

Galerie



09/11/2024