Roberto Alagna

Roberto Alagna

CARMEN - NEW YORK

 L'oeuvre

 



Opéra-comique en 4 actes de Georges Bizet

Livret d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy d'après la nouvelle de Prosper Mérimée

Créé à l'Opéra Comique de Paris le 3 mars 1875

 

 

Calendrier

09 janvier 2019

12 janvier 2019
17 janvier 2019
21 janvier 2019
26 janvier 2019
29 janvier 2019
 
02 février 2019
05 février 2019
08 février 2019

Ditribution 

 

Metropolitan Opera New York 

 

Carmen : Clémentine Margaine 

Micaëla : Aleksandra kurzak

Micaëla : Suzan Phillips (17 janvier)

Don José : Roberto Alagna

Escamillo : Alexander Vinogradov

Escamillo : Michael Todd Simpson (17 janvier)

 

Mise en scène : Richard Eyre

Décors et costumes : Rob Howell

Luminariste : Peter Mumford

Chorégraphe : Christopher Wheeldone

 

Orchestre et Choeurs du Metropolitan Opera

Direction Musicale : Louis Langrée

 

 

 

Revue de Presse

 

e-teatr.pl - Anna Czajkowska - 07 février 2019

 

❝ Un ténor puissant, coloré et dramatique, capable de faire passer toute sa passion dans son chant. Il gère les émotions avec une maîtrise vocale parfaite❞ 

 

EXTRAIT (traduit du polonais) : "D'emblée, le beau duo 'Parle-moi de ma mère' par Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna fascine. Un merveilleux et harmonieux pianissimo dans 'O souvenirs du pays' illustre formidablement bien la finesse de la voix de la soprano et les talents de son partenaire. [...] Roberto Alagna est sans aucun doute un ténor puissant, coloré et dramatique. Il est en mesure de faire passer toute sa passion, sa convoitise, sa rage et sa jalousie meurtrière dans son chant, en particulier aux actes III et IV, lorsqu'il sent approcher la fin tragique et tente de persuader Carmen de lui revenir et de renoncer au torero Escamillo. Les émotions montent, mais le ténor les gère avec une forme et une maîtrise vocale parfaites."
 
 

Ôlyrix - Jeanne Auffret - 05 février 2019

 

❝Une scène finale de grande intensité, une voix audible dans tous les registres, un français parfait, une interprétation solide et fougueuse❞ 

 

EXTRAIT : « Roberto Alagna offre une interprétation solide et fougueuse, semblant habiter le personnage de Don José presque comme pour la première fois. Il nuance sa voix pour appuyer l’intention dramatique et fait évoluer son caractère tout au long de la soirée vers une scène finale de grande intensité. Sa voix est audible dans tous les registres, son français parfaitement intelligible, et sa grande connaissance du rôle lui offrent une ovation de la part du public new-yorkais. »
 
 

Magazin Aktualne.cz - Jiri Cerny - 04 février 2019

❝Roberto Alagna réhausse chaque Carmen❞ 

 

EXTRAIT (traduit du Tchèque) : "Nul doute que Roberto Alagna se sent chez lui sur la scène du Metropolitan Opera. Tout est entre ses mains, non seulement la solidité vocale, la largeur de la tessiture, la richesse et l'excellence du timbre, mais aussi la voix parlée et même les expressions de son visage. Il fut souverain. Il existe peut-être d'autres ténors brillants, mais rares sont ceux qui sont aussi puissants et aussi fervent. Alagna interprète son Don José avec générosité, non seulement dans la célèbre "La Fleur que tu m'avais jetée" et dans le duo avec Micaëla, mais cette générosité se retrouve dans chacune de ses phrases.
 
 
 

Seen and Heard International - Jim Pritchard - 03 février 2019

❝ Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak portent la reprise de la production du Met Opera par Richard Eyre à un niveau supérieur❞ 

 

EXTRAIT : « Dans cette forme nul ne peut rivaliser avec Roberto Alagna dans le rôle de Don José et on l’a entendu totalement à l’aise avec le rôle. Son jeu et son chant atteignent leur meilleur niveau dans l’acte II jusqu’à la fin de l’opéra, avec toute sa passion – plus volcanique encore qu’intense, son désir, sa rage et sa jalousie meurtrière. Il a donné un contre Si naturel magnifique à la fin de ‘La fleur que tu m’avais jetée’, un solide et puissant contre Ut facultatif à la fin de l’Acte II et il lui restait encore beaucoup d’endurance pour l’angoisse et la colère de la scène finale. Même si sa charge émotionnelle a presque failli prendre le dessus. 

 

Et aussi ...

 ❝Une scène finale hallucinante et au climax, un chanteur/acteur de haut niveau, toujours solide, une performance enflammée et juvénile, robuste et qui donne le frisson, une interprétation physique et vocale, un chant magnifique qui suscitent la sympathie pour José, un rôle qui lui va comme si c’était une seconde peau❞


◙ « Le Don José de Roberto Alagna a gagné au fil de la représentation en intensité dramatique et en volume pour culminer dans une scène finale hallucinante qui laisse augurer du meilleur pour son prochain Otello à l’Opéra Bastille. A l’entracte le ténor a annoncé qu’il interprèterait enfin Lohengrin en version de concert aux côtés de son épouse la saison prochaine sans préciser dans quel théâtre l’événement aura lieu. […] [La mise en scène permet] de captiver l’auditoire lorsque l’on dispose de chanteurs / acteurs de la trempe de ceux qui nous sont proposés, notamment quand les caméras scrutent leurs visages comme au premier acte, durant la habanera, où une succession de champ-contrechamp dévoile les sentiments respectifs de Carmen et José bien avant que leurs mots ne les expriment. » (Christian Peter, Forumopera.com, 3/02/19) 

◙ « Roberto Alagna, toujours solide, s’ajuste parfaitement au rôle de Don José et l’interprète comme s'il s'agissait d’une seconde peau.» (John Deaderick, The Union, 31/01/19)

◙ « Le brigadier parfaitement en voix de Roberto Alagna accumule, lui, les points forts : un français à faire pâlir les acteurs du Français, une séduction et une fraicheur de timbre de jouvenceau, un sens de la phrase et des nuances qui pourrait faire école et enfin un instinct d’acteur hors du commun qui porte la folie du dernier acte à son plus haut degré »(Yannick Boussaert , Forumopera.com, 12/01/19)

◙ « Dans le rôle de Don José, Roberto Alagna est apparu solide […] Il a en grande partie pu contrôler le timbre riche et doré qui l'a rendu célèbre. José est un rôle qu’Alagna connaît maintenant de façon intime et il en consolide encore la caractérisation : un soldat passionné qui se transforme en épave, brisé et sans limite, sa fascination pour Carmen devenant une obsession violente. »(Eric C. Simpson, www.newyorkclassicalreview, 10/01/19)

◙ « Roberto s’est montré en grande forme. Il a été bouleversant dans "La fleur que tu m'avais jetée. A++" (Luiz Gazzola, Operalive, 22/01/19)

◙ « Don José est l’un des meilleurs rôles du ténor Roberto Alagna au Met, et il est apparu enflammé, éclatant de jeunesse et [de force] mercredi. […] Dans la scène finale, sa férocité silencieuse - une explosion homicide de ce que nous appellerions de nos jours virilité toxique - était effrayante. » (Zachary Woolfe, The New York Times, 11/01/19)

◙ «L’incarnation physique et vocale du personnage par Alagna confère à son interprétation une complexité inattendue. Son chant magnifique suscite la sympathie. Au lieu d'être simplement dangereux, Don José apparaît aussi pathétique; et oui, je l’avoue même si c'est à contrecœur : je me suis senti désolé pour lui. » (Patrick Clement James,Parterre Box presents La Cieca, 10/01/19)
 
 

Galerie

 
 


27/01/2019