AUSTRALIAN TOUR
Distribution - Calendrier
AUSTRALIAN TOUR
CONCERT A SYDNEY – 22 JUILLET 2016
CONCERT A MELBOURNE – 27 JUILLET 2016
CONCERT A BRISBANE – 30 JUILLET 2016
Roberto Alagna - Ténor
Siobhan Stagg - Soprano
Revue de Presse
H. Leviston
"Alagna fut totalement charmant dans son interprétation de l'enthousiaste mais naïf Nemorino et Siobhan Stagg le fut tout autant, telle la sage mais tout aussi charmante Adina. Tous deux étaient dans une forme vocale extraordinaire et ont immédiatement établi un rapport palpable avec le public et entre eux. Alagna a démontré qu'il était tout aussi capable de créer des moments de pure tendresse ensorcelante que de passion expansive à pleine gorge. Alagna est un performeur athlétique débordant d'énergie, qui exige de sa partenaire du répondant, du genre qui mettrait au défi les Ginger Rogers les plus aguerries."
The Courrier Mail
En scène à Brisbane : La tournée australienne 2016 de Roberto Alagna arrive à son terme ce soir avec la 3eme et dernière représentation d'une série de concerts formidable.
"Il est l'homme qui a ramené le charisme à l'opéra et a contribué à initier un nouveau public au monde fascinant et intemporel de la musique classique. Roberto Alagna ressemble à une star de cinéma, mais chante comme un ange. Aujourd’hui, nous avons tous la chance de voir ce qu'il en retourne quand il se produira avec le Queensland Symphony Orchestra au Convention & Exhibition Centre de Brisbane ce samedi soir.
Le Herald Sun – Paul Selar – 28/07/2016
En scène à Melbourne : "Un chanteur d'élite donne une soirée de chant magnifique, Roberto Alagna impressionnant dans son spectacle à Melbourne"
"Chanteur d’élite et showman qui garde les pieds sur terre, le ténor de renommée mondiale Roberto Alagna s’est donné tout entier dans un concert au Hamer Hall joliment mis en scène sous une pluie de bâtons de LED lumineux et colorés. Pour sa première visite en Australie avec une série de trois concerts, Alagna a traité son public comme s’il retournait au pays, avec la chaleur de retrouvailles entre amis, commençant rapidement par démontrer les références lyriques qui sont son quotidien.
Après l’ouverture vive et aérienne du Barbier de Séville, Alagna a généreusement partagé la scène avec la dynamique soprano australienne basée en Europe Siobhan Stagg, interprétant un duo comique de L'Elisir d'Amore de Donizetti. Captivant et divertissant, Alagna l’exécute à bon train dans une interprétation colorée, peu orthodoxe mais intelligente et éclatante, mettant clairement l’accent sur la fraîcheur et la gaîté du texte et la caractérisation du personnage. Stagg s’est facilement fondue aux côtés d’Alagna, faisant impression par son timbre vif et effervescent.
A partir de là, le programme s’est poursuivi en une rencontre intime avec un homme tendant la main à son auditoire, laissant de côté les airs d'opéra pour se délecter des chansons napolitaines romantiques que ses idoles Enrico Caruso et Mario Lanza ont popularisées.
Seule une poignée de puristes critiquerait un programme manquant de tubes d'opéra de la part de l'un des plus grands ténors lyriques du monde, mais ici, à l’honneur, ce fut une voix mêlant virilité et style, tendresse et passion, puissance et réserve. Poussant jusqu’aux limites sans jamais surcharger le son, le savoureux vibrato d’Alagna, son âme vocale soutenue, homogène et solide ressortent glorieusement.
Si vous n'étiez pas familier avec ces chansons, Alagna les a incarnées et données magnifiquement, en commençant par un vibrant hommage à Pavarotti dans « O paese d'o Sole » et terminant la première partie avec un « Core ‘ngrato » particulièrement accompli. Seul errement du concert, la chanson traditionnelle Santa Lucia (chanté avec Stagg accompagnée au piano par Giovanni Tucio), a déçu avec un rendu sans chair et semblant peu répété.
Dans la deuxième partie s’envole un « Funiculì, Funiculà » stylé et plaisant et un céleste « Torna a Surriento », interprété avec beaucoup d’introspection, comme dans une bulle que rien du monde extérieur ne peut contaminer. Le programme s’est terminé, pas avant trois rappels, avec un « O surdato 'nnammurato » exubérant, mettant clairement en évidence la puissance de l’instrument avantageusement affuté d’Alagna et sa polyvalence à passer d’une ambiance à l’autre.
Stagg a également conquis les cœurs, notamment avec un « O mio Babbino Caro » suave et délicat empli de pathos. Tout au long du concert, l’Australian Sinfonietta Melbourne a fourni un soutien musical exemplaire sous la direction de Stefano Miceli, brillant à son tour dans plusieurs morceaux orchestraux par une profondeur sonore quasi picturale.
Et pour les puristes de l'opéra, laissons à Alagna l'espace pour divertir, au-delà des autres personnages à qui il sait donner vie de façon si poignante sur les plus grandes scènes d'opéra du monde. »
Performing.Arts-Hub.com - Lynne Lancaster - 26.07.2016
En scène à Sydney : "c'est la première fois que le français Roberto Alagna, considéré comme l'un des plus grands ténors du monde, se produit en tournée en Australie.
« Totalement charmant et charismatique, d’une voix glorieuse et suave, Alagna a mis en valeur toute sa polyvalence, couvrant l’éventail de sa riche voix lyrique, sonore et puissante. Beaucoup de plaisir sur scène et ovation enthousiaste du public qui ne voulait plus laisser partir les artistes »
Fraîchement sorti de sa récente saison triomphante au Metropolitan Opera de New York. Considéré par beaucoup comme le successeur de Luciano Pavarotti, Alagna a surpassé tous ses contemporains dans le domaine du « crossover » : un magnifique ténor lyrique capable d’interpréter non seulement les airs d’opéra les plus romantiques mais aussi des chansons pop les plus aimées. Son timbre est riche, plein et brillant et ses albums de crossover se sont vendus par millions dans le monde entier, des reprises de hits enregistrés par Tony Bennett, Elvis et Dean Martin aux grands classiques napolitains et autres ballades romantiques comme « O Sole Mio », « Torna a Surriento » et « Just Say I Love Her".
Pour un soir seulement, Sydney a eu le privilège d'accueillir cette sensation lyrique désormais couronné « Roi du Met » et le Concert Hall du Sydney Opera House était plein à craquer pour l'occasion. Alagna est apparu totalement charmant et charismatique et a littéralement séduit beaucoup de ces dames dans le public. Dans l'ensemble, il régnait une atmosphère très détendue pour ce spectacle. D’une voix glorieuse et suave, il a donné à entendre une série de chansons mettant en valeur toute sa polyvalence – variant de la passion, la mélancolie, l’introspection à l’entrain le plus pétillant et joyeux. Alagna lui-même couvrant l’éventail de sa riche voix lyrique, sonore et puissante. Il fut évident qu’il a pris beaucoup de plaisir sur scène et avant la fin de la représentation le public lui mangeait dans la main.
L’invitée glamour d’Alagna, l'élégante Siobghann Stagg était en grande forme aussi, évoluant délicieusement et délicatement dans «O mio babbino caro» extrait de Gianni Schicchi de Puccini par exemple, et se régalant de duos enchanteurs (par exemple «Funiculi Funicula» et «O Sole Mio»). L'orchestre sous la direction dynamique de Stefano Miceli a joué magnifiquement avec un son chaleureux et dynamique. L'ouverture si prenante de La Forza del Destino de Verdi a donné la chair de poule, de même que le rendu très dramatique de l'ouverture de Nabucco et une performance enchanteresse et excitante de l'ouverture du Barbier de Séville de Rossini. L’Intermezzo de l’acte III de Manon Lescaut (Puccini) fut lyrique et extrêmement romantique.
[...] A la fin du spectacle le public s’est manifesté par une ovation debout enthousiaste et semblait ne plus vouloir laisser les artistes les quitter - Alagna et Stagg furent tenus d’offrir trois rappels et le public en réclamait encore à grands cris. »
"Roberto Alagna à Sydney" - Art and Abart - 22/7/2016)
"Un programme réussi et plutôt long, un accueil enthousiaste, un ténor à la voix magnifique, drôle et divertissant par-dessus le marché"
"Avez-vous déjà entendu Nessun Dorma chanté sur l'air de Funiculì, Funiculà ? Non? Et bien les personnes qui ont assisté au concert de Roberto Alagna à l'Opéra de Sydney la nuit dernière ont fait l'expérience.
Après un programme réussi et plutôt long d'airs d'opéra, d'interludes orchestraux et de chansons napolitaines y compris le Funiculì Funiculà précité, Roberto Alagna et ses partenaires, dont la délicieuse soprano australienne Siobhán Stagg qui s'est fait un nom en Europe, nous a offert un rappel qui a reçu un brillant accueil. En réalité, le public a réservé un accueil enthousiaste à Alagna dès le début du concert, applaudissant à tout rompre dès la moindre interruption de la musique. Cela n'est guère surprenant car Alagna est un artiste attachant et charismatique, après tout, qui ne pourrait pas être séduit par un ténor à la voix magnifique, et drôle et divertissant par-dessus le marché.
Quoi qu'il en soit, après les premiers rappels, il y a eu une brève concertation entre les interprètes et le chef d'orchestre afin de décider d'un nouvel encore, probablement pas prévu. Alors que le chef a levé sa baguette pour une reprise de Funiculì, Funiculà, on entendit une voix dans le public réclamant «Nessun Dorma" ! Le public rit, l'orchestre avait commencé, et c'est alors que nous avons entendu une interprétation de Funiculì, Funiculà tout à fait inédite. Au bout de chaque phrase, Alagna (et plus tard Stagg) a ajouté les mots de Nessun Dorma. Ce qui a causé beaucoup de manifestations joyeuses dans la salle. Peut-être que cette version du grand classique napolitain pourrait être officiellement nommée "la version de Sydney".
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